
Traduction, copywriting (rédaction), proofreading (révision), consultation linguistique, accompagnement de mémoire/thèse, ghostwriting (écriture fantôme)
En quelques mots…
Vous êtes chef du service marketing, responsable d'entreprise, avocat, notaire, huissier de justice ou intermédiaire dans une société et êtes à la recherche d'un bureau de traduction ayant déjà mérité ses galons. Vous pouvez avoir entièrement confiance en nous. Nous pouvons nous prévaloir de savoir-faire, sommes experts en jonglage avec les mots, avons la passion des langues à cœur… En un mot comme en cent: Nous connaissons notre métier à la perfection. Et tout ça en vue d'une qualité irréprochable et moyennant des prix compétitifs et des délais raisonnables.
L'âme de votre texte constitue notre souci majeur…
D'aucuns pensent de temps à autre que traduire/écrire en néerlandais ou en anglais (voire même en espagnol) ne relève pas de l'impossible. Ou peut-être connaissez-vous quelqu'un (dans l'entreprise) qui maîtrise la langue étrangère un tant soit peu. C'est alors que l'art de la traduction/rédaction s'avère plus difficile que vous ne le pensiez de prime abord. Il se peut bien évidemment aussi que votre collaborateur ou collègue n'ait pas ou plus le temps.
Vous saisissez aussitôt qu'un travail dans les règles de l'art est bien plus qu'une traduction mot à mot dans une autre langue. Un piège à éviter comme la peste! À nos yeux, il importe avant tout de reproduire correctement le contenu et l'objectif d'un texte sans jamais perdre de vue sa nature. Partant, n'espérez pas de traduction littérale.
Tout ça pour vous dire qu'avec le bureau de traduction Stephen Adriaens, vous pouvez dormir sur vos deux oreilles. Nous veillerons à ce que votre message soit transmis à 100%.
Contrôle de la qualité…
Tous les textes sont jugés par au moins deux traducteurs. Le premier traduit et le second (réviseur) vérifie en se concentrant sur le texte cible (la traduction). Le texte se lit-il facilement et répond-il aux exigences?
Nous travaillons toujours avec des locuteurs natifs. Nous traduisons de l'anglais, de l'allemand, de l'espagnol (et bien évidemment du français et du néerlandais) en français et en néerlandais. Pour les traductions en anglais, en allemand, en espagnol, en italien et en arabe (ou de l'italien/de l'arabe en français et en néerlandais), nous faisons appel à des collaborateurs externes (des locuteurs natifs).
Le travail fourni par nos collaborateurs externes passe toujours par nos mains, de sorte que nous puissions y jeter un coup d'œil critique. Les textes en langues française et néerlandaise sont vérifiés par un correcteur (locuteur natif).
Somme toute, nous effectuons toujours un double contrôle, avec un locuteur natif pour la langue cible et un autre pour la langue source.
Et la mise en page?
Si vous pouvez nous fournir les documents à traduire de façon électronique (en Word, Excel, PowerPoint, Publisher), nous pouvons travailler sans le moindre problème dans les fichiers originaux. Quoi qu'il en soit, nous essayons toujours de reproduire du mieux possible la mise en page originale. Le plaisir des yeux compte aussi et aide à séduire votre clientèle. Cet aspect fait également partie intégrante de l'esprit du texte.
Glossaires…
Chaque client aime utiliser son propre lexique. En règle générale, nous préférons les termes français aux termes anglais, mais rien n'empêche parfois d'utiliser les deux. Un tracker convient p.ex. tout à fait lorsqu'il est question d'un fonds indiciel côté en Bourse. Mais pas besoin selon nous d'utiliser le mot anglais lay-out pour mise en page. D'autre part, camping, hot-dog, fan (voire même best-seller pour livre à succès) nous semblent tout à fait corrects. Pas question non plus de verser dans le purisme en voulant écrire téléphone intelligent ou chien chaud pour smartphone ou hot-dog!
Et les synonymes? L'un préférera écrire "domicile statutaire", tandis que l'autre aura une prédilection pour "siège social".
Parfois, c'est le déluge de termes. C'est à y perdre son latin. Pourtant, il s'agit toujours de la même notion. À éviter! Mieux vaut se cantonner à un seul terme précis.
Pourquoi mélanger "tracker sur l'or", "tracker adossé à de l'or", "tracker investi en or" et "tracker axé sur l'or"? Ou "détecteur d'alcoolémie", "éthylotest", testeur d'alcoolémie", "testeur d'alcool", "alcootest", "testeur (numérique) d'alcoolémie par le souffle", "appareil de contrôle d'alcoolémie par le souffle", "éthylomètre", voire même "ivressomètre"? C'est à en devenir complètement chèvre!
Comment traduire tous ces termes? Faut-il écrire "3-versnellingen T-tandwielkast" (ou "3-V T-tandwielkast", "3-V T-versnellingsbak", "3-V T-versnellingskast") lorsqu'il s'agit d'une "boîte d'entraînement en T à 3 vitesses" (ou d'une "boîte de réduction en T à 3 vitesses"? Ou en allemand "T-Zahnradkasten mit 3 Gängen" ou "3-Stufen-T-Gebriebe"? Le plus simple c'est de se limiter à 1 seul terme!
Tout est à discuter avec le client et les glossaires sont rédigés en concertation et au fil du temps dans le seul souci d'assurer une certaine continuité et logique permanente. Lorsqu'il est question de textes techniques, il est même vivement recommandé de ne pas avoir recours à quatre ou cinq termes différents (cf. ci-dessus). Cela pourrait prêter à confusion et engendrer des malentendus.
Nous avons également coutume de nous rendre sur place chez le client, par exemple pour avoir les explications idoines au sujet d'une machine quand il faut en traduire le mode d'emploi. Pour bien comprendre ce que l'on traduit, il faut parfois voir de visu de quoi il s'agit exactement. Nous en profitons alors pour discuter de la terminologie appropriée. L'objectif est d'être sur la même longueur d'onde et d'accorder les violons, avec pour corollaire des résultats hors pair. Échanger des points de vue pour créer des projets multilingues est une ambition que nous tenons en haute estime, le degré de difficulté étant un défi à relever!
Textes en tout genre…
Il est impossible d'énumérer tous les types de texte. Néanmoins, voici quand même un aperçu:
Textes juridiques: actes, conclusions, citations, jugements, procès-verbaux, requêtes, plaintes, contrats de location, conventions, correspondance entre avocats…
Textes commerciaux: brochures, sites Internet, mailings (publipostage par le Net ou par courrier postal), lettres informatives et événementielles, documents publicitaires…
Textes techniques: modes d'emploi, articles scientifiques, manuels, instructions de montage, directives de sécurité, brochures, rapports…
Textes parapharmaceutiques: notices explicatives, articles scientifiques, monographies au sujet de tests diagnostiques (alcootests, tests de grossesse, tests urinaires…), produits oculaires et bucco-dentaires, pansements, articles d'incontinence, compléments alimentaires et tonifiants pour enfants, jeunes et adultes, produits vétérinaires, pommades, produits de protection solaire…
Textes médicaux: rapports…
Textes littéraires: Le bureau de traduction Stephen Adriaens peut se targuer d'avoir une panoplie de livres (de fiction et de non-fiction) à son actif: guides touristiques, littérature pour jeunes, cédéroms éducatifs, littérature pour adultes…
Textes devant être assermentés/légalisés: Normalement, ce genre de textes est réservé aux avocats et aux personnes privées. Il se peut toutefois qu'une entreprise ait également besoin de ce service pour traduire ses statuts, un extrait du Moniteur belge, des documents officiels…
Textes pour les autorités: Nous sommes traducteurs assermentés/jurés auprès des tribunaux belges. Nous avons prêté serment par-devant les tribunaux de première instance de Courtrai (Kortrijk), Bruges (Brugge), Furnes (Veurne), Tournai, Bruxelles, Gand (Gent) et Louvain (Leuven).
Qui peut se prétendre traducteur assermenté/juré? Les traductions pour les instances publiques (tribunaux, ambassades, autorités communales…) et les notaires doivent être valables en droit. C'est la raison pour laquelle il faut faire appel aux services d'un traducteur assermenté, celui-ci ayant été habilité par le tribunal à effectuer la traduction de documents officiels. Le traducteur assermenté applique son sceau et sa signature au bas de la traduction, tout en mentionnant que le document traduit est certifié conforme à l'original.
Dans une phase plus avancée, il faut parfois faire légaliser la signature du traducteur assermenté. Cela se fait par-devant le tribunal de première instance de l'arrondissement judiciaire où le traducteur en question a élu domicile. Dans notre cas, c'est à Courtrai (Kortrijk) ou à Tournai. En appliquant le sceau du tribunal et sa signature, le président du tribunal de première instance de Tournai/Courtrai (Kortrijk) confirme que nous sommes des traducteurs assermentés et que nous sommes autorisés à traduire des documents officiels.
Ensuite, ce document pourra être légalisé à l'ambassade.
Pour les particuliers: Il s'agit, en l'occurrence, majoritairement d'actes de naissance ou de mariage, certificats, diplômes, attestations, documents de succession… que vous devez faire traduire en tant que particulier par un traducteur assermenté.
En quelques mots…
Vous êtes chef du service marketing, responsable d'entreprise, avocat, notaire, huissier de justice ou intermédiaire dans une société et êtes à la recherche d'un bureau de traduction ayant déjà mérité ses galons. Vous pouvez avoir entièrement confiance en nous. Nous pouvons nous prévaloir de savoir-faire, sommes experts en jonglage avec les mots, avons la passion des langues à cœur… En un mot comme en cent: Nous connaissons notre métier à la perfection. Et tout ça en vue d'une qualité irréprochable et moyennant des prix compétitifs et des délais raisonnables.
L'âme de votre texte constitue notre souci majeur…
D'aucuns pensent de temps à autre que traduire/écrire en néerlandais ou en anglais (voire même en espagnol) ne relève pas de l'impossible. Ou peut-être connaissez-vous quelqu'un (dans l'entreprise) qui maîtrise la langue étrangère un tant soit peu. C'est alors que l'art de la traduction/rédaction s'avère plus difficile que vous ne le pensiez de prime abord. Il se peut bien évidemment aussi que votre collaborateur ou collègue n'ait pas ou plus le temps.
Vous saisissez aussitôt qu'un travail dans les règles de l'art est bien plus qu'une traduction mot à mot dans une autre langue. Un piège à éviter comme la peste! À nos yeux, il importe avant tout de reproduire correctement le contenu et l'objectif d'un texte sans jamais perdre de vue sa nature. Partant, n'espérez pas de traduction littérale.
Tout ça pour vous dire qu'avec le bureau de traduction Stephen Adriaens, vous pouvez dormir sur vos deux oreilles. Nous veillerons à ce que votre message soit transmis à 100%.
Contrôle de la qualité…
Tous les textes sont jugés par au moins deux traducteurs. Le premier traduit et le second (réviseur) vérifie en se concentrant sur le texte cible (la traduction). Le texte se lit-il facilement et répond-il aux exigences?
Nous travaillons toujours avec des locuteurs natifs. Nous traduisons de l'anglais, de l'allemand, de l'espagnol (et bien évidemment du français et du néerlandais) en français et en néerlandais. Pour les traductions en anglais, en allemand, en espagnol, en italien et en arabe (ou de l'italien/de l'arabe en français et en néerlandais), nous faisons appel à des collaborateurs externes (des locuteurs natifs).
Le travail fourni par nos collaborateurs externes passe toujours par nos mains, de sorte que nous puissions y jeter un coup d'œil critique. Les textes en langues française et néerlandaise sont vérifiés par un correcteur (locuteur natif).
Somme toute, nous effectuons toujours un double contrôle, avec un locuteur natif pour la langue cible et un autre pour la langue source.
Et la mise en page?
Si vous pouvez nous fournir les documents à traduire de façon électronique (en Word, Excel, PowerPoint, Publisher), nous pouvons travailler sans le moindre problème dans les fichiers originaux. Quoi qu'il en soit, nous essayons toujours de reproduire du mieux possible la mise en page originale. Le plaisir des yeux compte aussi et aide à séduire votre clientèle. Cet aspect fait également partie intégrante de l'esprit du texte.
Glossaires…
Chaque client aime utiliser son propre lexique. En règle générale, nous préférons les termes français aux termes anglais, mais rien n'empêche parfois d'utiliser les deux. Un tracker convient p.ex. tout à fait lorsqu'il est question d'un fonds indiciel côté en Bourse. Mais pas besoin selon nous d'utiliser le mot anglais lay-out pour mise en page. D'autre part, camping, hot-dog, fan (voire même best-seller pour livre à succès) nous semblent tout à fait corrects. Pas question non plus de verser dans le purisme en voulant écrire téléphone intelligent ou chien chaud pour smartphone ou hot-dog!
Et les synonymes? L'un préférera écrire "domicile statutaire", tandis que l'autre aura une prédilection pour "siège social".
Parfois, c'est le déluge de termes. C'est à y perdre son latin. Pourtant, il s'agit toujours de la même notion. À éviter! Mieux vaut se cantonner à un seul terme précis.
Pourquoi mélanger "tracker sur l'or", "tracker adossé à de l'or", "tracker investi en or" et "tracker axé sur l'or"? Ou "détecteur d'alcoolémie", "éthylotest", testeur d'alcoolémie", "testeur d'alcool", "alcootest", "testeur (numérique) d'alcoolémie par le souffle", "appareil de contrôle d'alcoolémie par le souffle", "éthylomètre", voire même "ivressomètre"? C'est à en devenir complètement chèvre!
Comment traduire tous ces termes? Faut-il écrire "3-versnellingen T-tandwielkast" (ou "3-V T-tandwielkast", "3-V T-versnellingsbak", "3-V T-versnellingskast") lorsqu'il s'agit d'une "boîte d'entraînement en T à 3 vitesses" (ou d'une "boîte de réduction en T à 3 vitesses"? Ou en allemand "T-Zahnradkasten mit 3 Gängen" ou "3-Stufen-T-Gebriebe"? Le plus simple c'est de se limiter à 1 seul terme!
Tout est à discuter avec le client et les glossaires sont rédigés en concertation et au fil du temps dans le seul souci d'assurer une certaine continuité et logique permanente. Lorsqu'il est question de textes techniques, il est même vivement recommandé de ne pas avoir recours à quatre ou cinq termes différents (cf. ci-dessus). Cela pourrait prêter à confusion et engendrer des malentendus.
Nous avons également coutume de nous rendre sur place chez le client, par exemple pour avoir les explications idoines au sujet d'une machine quand il faut en traduire le mode d'emploi. Pour bien comprendre ce que l'on traduit, il faut parfois voir de visu de quoi il s'agit exactement. Nous en profitons alors pour discuter de la terminologie appropriée. L'objectif est d'être sur la même longueur d'onde et d'accorder les violons, avec pour corollaire des résultats hors pair. Échanger des points de vue pour créer des projets multilingues est une ambition que nous tenons en haute estime, le degré de difficulté étant un défi à relever!
Textes en tout genre…
Il est impossible d'énumérer tous les types de texte. Néanmoins, voici quand même un aperçu:
Textes juridiques: actes, conclusions, citations, jugements, procès-verbaux, requêtes, plaintes, contrats de location, conventions, correspondance entre avocats…
Textes commerciaux: brochures, sites Internet, mailings (publipostage par le Net ou par courrier postal), lettres informatives et événementielles, documents publicitaires…
Textes techniques: modes d'emploi, articles scientifiques, manuels, instructions de montage, directives de sécurité, brochures, rapports…
Textes parapharmaceutiques: notices explicatives, articles scientifiques, monographies au sujet de tests diagnostiques (alcootests, tests de grossesse, tests urinaires…), produits oculaires et bucco-dentaires, pansements, articles d'incontinence, compléments alimentaires et tonifiants pour enfants, jeunes et adultes, produits vétérinaires, pommades, produits de protection solaire…
Textes médicaux: rapports…
Textes littéraires: Le bureau de traduction Stephen Adriaens peut se targuer d'avoir une panoplie de livres (de fiction et de non-fiction) à son actif: guides touristiques, littérature pour jeunes, cédéroms éducatifs, littérature pour adultes…
Textes devant être assermentés/légalisés: Normalement, ce genre de textes est réservé aux avocats et aux personnes privées. Il se peut toutefois qu'une entreprise ait également besoin de ce service pour traduire ses statuts, un extrait du Moniteur belge, des documents officiels…
Textes pour les autorités: Nous sommes traducteurs assermentés/jurés auprès des tribunaux belges. Nous avons prêté serment par-devant les tribunaux de première instance de Courtrai (Kortrijk), Bruges (Brugge), Furnes (Veurne), Tournai, Bruxelles, Gand (Gent) et Louvain (Leuven).
Qui peut se prétendre traducteur assermenté/juré? Les traductions pour les instances publiques (tribunaux, ambassades, autorités communales…) et les notaires doivent être valables en droit. C'est la raison pour laquelle il faut faire appel aux services d'un traducteur assermenté, celui-ci ayant été habilité par le tribunal à effectuer la traduction de documents officiels. Le traducteur assermenté applique son sceau et sa signature au bas de la traduction, tout en mentionnant que le document traduit est certifié conforme à l'original.
Dans une phase plus avancée, il faut parfois faire légaliser la signature du traducteur assermenté. Cela se fait par-devant le tribunal de première instance de l'arrondissement judiciaire où le traducteur en question a élu domicile. Dans notre cas, c'est à Courtrai (Kortrijk) ou à Tournai. En appliquant le sceau du tribunal et sa signature, le président du tribunal de première instance de Tournai/Courtrai (Kortrijk) confirme que nous sommes des traducteurs assermentés et que nous sommes autorisés à traduire des documents officiels.
Ensuite, ce document pourra être légalisé à l'ambassade.
Pour les particuliers: Il s'agit, en l'occurrence, majoritairement d'actes de naissance ou de mariage, certificats, diplômes, attestations, documents de succession… que vous devez faire traduire en tant que particulier par un traducteur assermenté.